Enrique Serna Knihy

Liebe aus zweiter Hand deckt die generationstypischen Wesensmerkmale der postmodernen Erzählkunst prägnant auf. Die elf Erzählungen, die das Buch umfasst, sind facettenreich, sie unterscheiden sich u. a. in Perspektiven, Schauplätzen und Erzähltechniken, elf Erzählungen, die nach dem Lesen noch lange im Gedächtnis bleiben. Gemeinsam ist allen Erzählungen das Element des Grotesken, der schwarze Humor, der die Handlung begleitet, bis hin zur überraschenden Auflösung des erzählerischen Knotens. Gemeinsam ist den Figuren die Tragik, die ihr Leben überschattet und die doch gleichzeitig etwas unendlich Komisches in sich trägt. Ideenreich und originell, ist dieser Erzählband ein Querschnitt über das gesamte Spektrum der Liebe. Dabei ist Liebe nicht nur als geschlechtliche Liebe zu verstehen, es geht ebenso um elterliche Liebe, Selbstliebe oder Liebe zur Kunst; doch die Liebe sämtlicher Protagonisten trägt krankhafte Züge an sich, schlägt in Ekel oder Hass um oder endet in Desillusion. Da ist die Familie, die aus ihrem Alltag sämtliche visuellen Ausdrücke streicht, um ihrem blind zur Welt gekommenen Sohn sein Handikap zu verheimlichen. Oder der Junge, dem Picasso einen Minotaurus auf die Brust tätowiert und dessen Weg ab nun durch die Museen der Welt führt, als Kunstobjekt. Oder Eufemia, die die Abendschule besucht, um Sekretärin zu werden, der jedoch die Liebe in den Weg kommt.

Soit un modeste garagiste mexicain qui a plaqué femme et gosses pour suivre à Barcelone une bombe dominicaine, chanteuse de salsa, aussi irrésistible qu'assommante. Soit un séduisant quadragénaire catalan, dont les femmes sont folles, mais qui est encore puceau à 47 ans parce qu'il se croit impuissant et qui en désespoir de cause a recours au Viagra. Soit enfin, ou presque, un acteur porno argentin en fin de carrière qui perd tous ses moyens sur un tournage après être tombé raide amoureux d'une jeune et jolie étudiante qui le croit chercheur en génétique. Quand ces trois-là se croisent, avec quelques autres qui font, ou pas, dans la dentelle, le cocktail est explosif. Coup de sang est une tragicomédie sexuelle débridée, crue, farcesque, panique, un vaudeville délirant qui risque de choquer les belles âmes, dans lequel Enrique Serna déploie toute sa verve caustique et son humour féroce, entre passions et pulsions, entre triomphes et fiascos. Peinture au vitriol de la sexualité contemporaine, portrait grinçant du macho, mais aussi de l'hystérique moderne, ce Coup de sang d'un des plus talentueux et singuliers écrivains d'Amérique latine est un roman crépitant de folies diverses et variées, dont la lecture réserve, jusqu'au bout, bien des plaisirs et des surprises.

Las caricaturas me hacen llorar es una selección de crónicas y ensayos en los que Enrique Serna ejerce la crítica sin cortapisas, con el tono desenfadado de una conversación entre amigos. Como en la tragicómica balada de Queta Garay que da título al libro, el afán por observar la vida cultural y política más allá de las apariencias despierta una mezcla de sentimientos que van de la irrisión a la náusea y de la perplejidad a la mueca burlona. La primera parte, 'Risas y desvíos', contiene reflexiones humorísticas sobre un amplio abanico de temas: la ternura empalagosa, la patología del estudio, el machismo torcido, la moral de los narcos, el tránsito del melodrama a la neurosis, la discriminación racial y la manera como se refleja en el español mexicano. Las caricaturas me hacen llorar is a selection of essays in which Enrique Serna exercises criticism without restrictions, with the casual tone of a conversation between friends. As in the tragicomic ballad by Queta Garay that gives the book its title, the desire to observe cultural and political life beyond appearances awakens a mixture of feelings that go from derision to nausea and from perplexity to grimace.

Né pour lutter. Tramer sans a rue, voler, se cacher et inhaler de la colle, c'est le quotidien de Nopal, petit loubard des quartiers pauvres de Mexico. Alors, il. s'invente une autre vie. Une vie sans flics corrompus, sans intellectuels hypocrites, ni parents indignes. Une vie où il aurait des poils pour coucher avec la Canette et un flingue pour se faire respecter. Une vie où il. serait roi...