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Brigitte Krulic

    Ecrivains, identité, mémoire
    Nietzsche, penseur de la hiérarchie
    Raison(s) d'etat(s) en Europe
    L’ ennemi en regard(s)
    Savoirs et métiers de l'etat au XIXe siècle
    Senza ritorno
    • Senza ritorno

      • 435 stránok
      • 16 hodin čítania

      Negli anni segnati dall'ascesa del totalitarismo in Germania, Karl Hoffman, il figlio di un pastore luterano di Magdeburgo, decide di seguire le orme del padre e intraprendere gli studi di teologia all'Università di Berlino. Da qui, Karl assiste agli abusi del regime, al tentativo di imporre le nuove dottrine naziste e alle manovre per contrastare il potere della Chiesa. Insieme a Erika, un'amica d'infanzia di cui s'è innamorato, decide dapprima di unirsi a un gruppo clandestino, il Fronte di lotta cristiano, quindi, alle soglie del secondo conflitto mondiale, di fuggire con lei a Parigi, e poi in America. Negli stessi drammatici giorni, suo padre è costretto a battersi in prima persona per difendere la propria fede, e a pagare con la vita il prezzo della libertà. Oltre che un romanzo appassionante, <i>Senza ritorno</i> è la testimonianza diretta di un uomo scampato al regime nazista. La collaborazione dell'FBI e l'inatteso successo di <i>Destinatario sconosciuto</i> - il romanzo epistolare che già nel 1938 denunciava gli orrori dell'Olocausto - consentirono infatti a Kressmann Taylor di incontrare Leopold Bernhard, un profugo berlinese rifugiatosi oltreoceano alla vigilia della Seconda guerra mondiale. Questo libro - frutto delle loro conversazioni segrete - apparve per la prima volta nel 1941, confermando l'incredibile sensibilità dell'autrice nel cogliere, in anticipo, le tragiche trasformazioni del proprio tempo. Dimenticato per oltre sessant'anni e riscoperto in seguito al caso letterario suscitato dalla nuova pubblicazione di <i>Destinatario sconosciuto</i>, <i>Senza ritorno</i> è un'opera vibrante e commossa, in grado di evocare ancora oggi con forza inalterata lo scontro tra la dittatura e la fede, le angosce di un popolo diviso dall'odio e le sofferenze di un padre e di un figlio determinati a difendere la propria libertà.

      Senza ritorno
    • L’ouvrage aborde dans une optique comparatiste (France, Allemagne) les modalités de formation, de recrutement et d’évolution de carrière des serviteurs de l’Etat au XIXe siècle, dans un contexte marqué par la construction d’un Etat moderne soucieux d’une gestion efficace. A la différence de la Prusse, cas emblématique et précoce d’Etat autoritaire-bureaucratique, l’organisation d’une fonction publique régulière en France a en large partie résulté de nécessités pratiques et non d’une doctrine positive. Toutefois, les qualifications nécessaires pour que les administrateurs soient reconnus compétents et légitimes ont fait l’objet de vifs débats, traversés par des phénomènes de circulations d’idées et de modèles. Les pratiques nées des nécessités du service de l’Etat ont permis des assouplissements et adaptations qui tempèrent les contrastes offerts par les représentations idéal-typiques du bureaucrate allemand et de son homologue français, contrastes qui renvoient à des traditions différentes en matière de relations entre pouvoir politique et administration. Au-delà de la diversité des situations, c’est la question du lien entre le pouvoir administratif et la poursuite de l’intérêt général qui demeure tout à la fois sous-jacente et active.

      Savoirs et métiers de l'etat au XIXe siècle
    • Le couple ami/ennemi fournit une grille de lecture dotée d’une redoutable force mobilisatrice pour appréhender la coexistence des diversités humaines ; il est associé à la notion d’identité, laquelle renvoie à celle de communauté ou de groupe. « Construction », « recomposition », ces termes clés circonscrivent la perspective adoptée dans cet ouvrage collectif, issu d’un colloque international tenu à Nanterre en novembre 2011. Il propose une approche interdisciplinaire, centrée sur la France, la Russie et l’Allemagne, de la généalogie et des fonctions des images de l’ennemi en Europe sur les trois derniers siècles, à partir de textes historiques et littéraires. Bien plus qu’aux réalités sociales, l’analyse des images, qui appartient à l’histoire des représentations, renvoie à l’imaginaire social et national dans lequel le recours au concept, nécessaire et construit, d’« ennemi » joue un rôle central.

      L’ ennemi en regard(s)
    • Raison(s) d'etat(s) en Europe

      • 261 stránok
      • 10 hodin čítania

      « Raison mystérieuse inventée par les politiques pour autoriser tout ce qu’ils font sans raison » (Saint Evremond) ? Ou mise en œuvre de mesures de « salut public » dictées par une impérieuse nécessité ? La raison d’Etat est associée dans l’imaginaire politique européen à des politiques (le secret, le cynisme) et à des personnalités controversées (Machiavel, Richelieu, Bismarck). Cet ouvrage collectif, issu d’un colloque international pluridisciplinaire organisé en 2009 par le Centre de recherches pluridisciplinaires multilingues de l’Université Paris Ouest Nanterre la Défense, croise les approches de la philosophie, de l’histoire et des cultures juridiques ; il interroge les représentations et contextualisations, sur la longue durée historique, de la raison d’Etat, ou plutôt des raisons d’Etats, ainsi que ses recompositions contemporaines, en particulier les procédures de l’Etat de droit face à l’état d’urgence et aux « circonstances exceptionnelles ». Ce livre contient 12 articles en français, un en allemand ainsi qu’un en anglais.

      Raison(s) d'etat(s) en Europe
    • Ecrivains, identité, mémoire

      • 222 stránok
      • 8 hodin čítania

      "Outre-Rhin, le passé nazi constitue un champ de tensions entre l'histoire et la mémoire. L'acte de mémoire a partie liée avec l'acte d'écriture : la littérature redessine la trame du temps et recompose les identités malmenées. Les soubresauts de l'histoire ont engendré une littérature à plusieurs voix animée par le besoin de se libérer du passé en se réappropriant ses mémoires

      Ecrivains, identité, mémoire