Ein Jahr vor den Wahlen wird Roger Missang, Journalist der Èchos du sud, am Strand von Libreville nahe dem Palast des Präsidenten der Republik mit durchschossener Kehle aufgefunden. Er hat kritisch über die Ermordung von Pacel Kurka, dem Sicherheitschef der gabunischen Verteidigung, berichtet. Wegen seiner kritischen Untersuchungen über die heimlichen wirtschaftlichen Beziehungen in Ghana war er den Mächtigen des Landes ein Dorn im Auge. Er prangerte hemmungslos die Korruption an. Für die Presse ist sein Tod offensichtlich ein politischer Mord. Mit den Ermittlungen im Mordfall werden Louis Koumba und Hervé Envame beauftragt, zwei Polizisten, die ohne die bei uns übliche DNA-Analyse und Forensik auskommen müssen. Sie sind auf Zeugenaussagen und Informanten angewiesen. Die technische Ausrüstung ihrer Einheit beschränkt sich auf eine Schreibmaschine aus der de-Gaulle-Zeit.
Janis Otsiemi Knihy
Janis Otsiemi, výrazný africký autor thrillerov, pochádza z Gabonu a píše drsné detektívky priamo z deja svojich príbehov. Jeho štylistické majstrovstvo spočíva v odvážnom a niekedy až brutálnom zaobchádzaní s francúzštinou, ktorú si prispôsobuje tak, aby odrážala jeho vlastnú kultúrnu identitu a skúsenosti. Otsiemiho diela sa často zaoberajú temnými témami, ako sú vraždy a politické intríg, zasadené do živého afrického prostredia. Jeho jedinečný prístup k jazyku a žánru mu priniesol uznanie ako hlasu, ktorý pretvára francúzsky písanú literatúru.



À Libreville, l'assassinat d'une prostituée semble d'abord être un crime de rôdeur. Un second meurtre dans un bordel crée une psychose. Parallèlement, les gendarmes de la DGR enquêtent sur un braquage de fourgon.
African tabloïd
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Libreville. 2008. Un an avant les élections, un type est retrouvé mort sur une plage de Libreville, près du palais de la présidence de la République, une balle dans la gorge et deux doigts de la main gauche coupés. La victime est un journaliste d'investigation connu pour ses enquêtes très sensibles sur le pouvoir dont il dénonçait la corruption et la main mise sur les affaires du pays. Pour la corporation, la société civile et les associations de défense de la presse, il s'agit là, à l'évidence, d'un assassinat politique. Mais à Libreville, comme partout ailleurs en Afrique, les apparences sont souvent trompeuses... « Janis Otsiemi dégaine ses polars comme autant de cartouches de liberté... Comme il dope son écriture d'un argot local débridé, ça devient un feu d'artifice. On savoure... » Le Point